What !? Mais il est passé où ce mois d’octobre ?
Je sais c’est dingue et en même temps, je ne vais pas me plaindre.
Pourquoi ? Parce qu’on approche de ma période préférée de l’année : NOËL ! (C’est aussi la période préférée de Mariah Carey d’ailleurs).
Parlons sérieusement…
Depuis la rentrée, je vous parle de plus en plus contenu et écriture.
Après le storytelling, la revisite de l’annonce, aujourd’hui je vous embarque sur le sujet du copywriting. Et même plus précisément, de la créativité.
Je vous en parlais cette semaine sur LinkedIn, mais, je n’aime pas lire. Ou plutôt, je suis incapable de lire des bouquins de + de 250 pages.
Pour moi, ça représente trop de concentration, alors que je suis plutôt du genre à être distraite par un papillon qui passe.
Mais cet été, j’ai réussi un exploit : lire un livre de 400 pages. Et en anglais en plus !
Celui-ci, j’ai réussi à le dévorer pour 3 raisons.
▪️Il parle d’un sujet qui me passionne : l’écriture et la créativité.
▪️Il se décompose en 207 micro-leçons : j’ai lu chaque leçon à mon rythme.
▪️Il est écrit très simplement : je n’ai pas eu l’impression de lire un gros pavé indigeste.
Il s’agit de “Very Good Copy, 207 micro-lessons on thinking and writing like a copywriter” par Eddie Shleyner.
Et comme je pense à ceux et celles qui comme moi, n’aiment pas lire, je vous ai fait un récap des leçons les + inspirantes, aussi bien pour moi-même, que très certainement, POUR VOUS !
Allez on ne traîne pas, c’est parti !
1/ Il faut arrêter avec ce mythe de la création. On ne peut pas créer de zéro. La créativité, c’est en réalité “créer à partir de quelque chose d’autre”. Être créatif, c’est faire des connexions. Rien d’autre. Donc les bases, pour nourrir sa créativité, c’est réseauter, interagir, écouter. Et la créativité, c’est aussi recycler.
2/ La créativité, ça ne se force pas. C’est spontané. Elle survient souvent à des moments où on ne la cherche pas. Et très souvent, lorsque l’on est le moins productif. Dans n’importe quelle discipline qui requiert de la créativité, ne rien faire fait partie du job. Nous sommes plus créatifs quand nous ne sommes pas productifs. Donc en entreprise, les moments de flottement, de rien, de distraction... Et bien ils sont cruciaux !
3/ La voix ou le style comptent moins que le message à faire passer. Pour se différencier et développer son audience, ce qui compte, c’est ce que l’on a à dire. Il faut toujours se concentrer en priorité sur le fond, et non la forme. TOUJOURS.
4/ La perfection n’est qu’une illusion. La vulnérabilité, elle, est bien réelle. Nous sommes tous vulnérables et loin d’être parfaits. Tout le monde se retrouve dans l’imperfection. Et c’est tout l’objectif de l’écriture et du contenu. Amener une audience à se retrouver. À se sentir concernée. Vulnérabilité > Perfection.
5/ Les expériences nourrissent les idées. Mais c’est la capacité à prendre de la hauteur qui nourrit la créativité. C’est l’essence même de la créativité : être capable de transformer des expériences.
6/ Nous sommes programmés pour la réciprocité. Il est humain de vouloir donner quelque chose en retour. Et nous donnons naturellement plus que ce que l’on a reçu. C’est sur ça que repose l’intérêt de partager du contenu gratuit. On peut le faire sans attente. Certes. Mais il y aura sûrement beaucoup à recevoir en retour.
7/ Face à la création de contenus, beaucoup se disent qu’ils n’ont rien à dire. Que leurs concurrents font de toute façon la même chose qu’eux. Qu’ils n’ont rien qui les différencient. Et bien en commençant par décrire ce que l’on fait, il y a de grandes chances pour que l’on soit le premier à le dire.
8/ La créativité, en vrai, c’est noter toutes ses idées.
9/ Pour parfaire ses contenus, toujours laisser reposer les mots, puis les relire à froid. TOUJOURS.
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Voici la petite anecdote à découvrir par ici
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